La dernière partie du livre du professeur Agoun: une ville fière de son passé, de ses enfants et de ses roses.
Photo inédite: Hammas de café au charbon
Remarque: Ce billet complète la publication du livre du professeur Agoun. Personnellement, je le remercie énormément pour deux choses. En premier, celui d’avoir pris le temps de rassembler les éléments nécessaires tels que les photos et témoignages et de les mettre par écrit pour les générations futures. En deuxième lieu, celui de m’avoir donné l’autorisation de les mettre à la disposition des lecteurs de blida.net
Je l’ai rencontré la dernière fois en 2009 lors du décès de mon père Sid’Ahmed Benteftifa, allah yerhmou wa wassa allih. Monsieur Agoun s’est déplacé chez nous malgré qu’il était physiquement affaibli. C’était un grand ami de mon père mais je l’ai eu aussi comme enseignant de sciences naturelles au CEM Mahi à Blida dans les années 70. C’est un natif du quartier Ouled Sultan, plus connu sous le nom Douiret. Merci.
Bonne lecture.
Cliquer ici pour lire Blida-partie 8
Lien pour les parties du livre:
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 1
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 2
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 3
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 4
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 5
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 6
- Livre du professeur Agoun Ahmed – Blida partie 7
merci Mr Aggoun pour vos efforts et pour votre recherches sur cette ville que j’ais l’honneur de l’habitrer
Oui, c’est un monsieur trés charmant que je ne suis pas prêt d’oublier car moi aussi je l’ai eu comme professeur de sciznces naturelles au CEM Polytechnique Mahi dans les années 80.
Rabi yahafdhou.
SALAM ALIKOUM.
j’ai lue toute les parties que vous avez publié, ça a réveillez en moi la nostalgie de ma ville natale BLIDA, mes ancêtres y sont enterrés à Sidi Halou, je me souvient de cette belle époque qu’on appelé BEKRI, le mahrez on s’en sert toujours, sauf le canoun pour torifier le café qui a disparu de nos jours, le haiek et le 3djar des femmes, cette époque avait son charme, on ne fermer pas les portes à clef, il avait el horma et le nif et le charaf, on a reçu une bonne éducation de nos parents et grands parents, on essaye de léguer cet héritage mais ce sera difficile avec ce soit-disant progrès (portable ect…)qui nous enlève les discutions entre voisins et amis el djar, les rencontres entre famille étaient quotidienne, je crois que ce charme a disparu de nos jours et c’est dommage. je vous remercie de tout ce travail que vous nous avez fait replonger dans nos vraies valeurs qu’on avait et qui sont toujours restées enfouies dans notre coeur. je vous dit encore merci. je garderai toujours l’image de ma BLIDA que j’ai connue
mes salutations les plus respectueuses.
@mari: c’est le minimum que je peux faire. Je vous remercie pour vos encouragements et surtout d’avoir pris le temps de lire ces posts.